Et si, en 2026, on bougeait juste pour se sentir bien ? Pas pour battre des records ou “faire ses 10 000 pas”, mais pour faire circuler l’énergie, se vider la tête et retrouver un peu de légèreté. Le corps n’a pas été conçu pour rester immobile : bouger régulièrement, c’est entretenir le cœur, les muscles, la respiration et même le moral. Pourtant, entre travail assis, trajets motorisés et écrans omniprésents, le mouvement devient une option… alors qu’il devrait être un réflexe.
Rebouger, c’est aussi retrouver du plaisir : celui d’un entraînement partagé, d’un match du dimanche ou d’un cours collectif où on se motive ensemble. Le sport encadré, pratiqué dans les clubs et infrastructures de la Fédération Wallonie-Bruxelles, a ce pouvoir-là : créer du lien, du rythme, du sens. C’est aussi une manière simple de prendre soin de sa santé physique et mentale, souvent mises à rude épreuve.
On y croise des jeunes et des moins jeunes, des mordus de compétition et des amateurs du mercredi soir, des bénévoles qui s’impliquent parce qu’ils aiment faire partie d’un tout, des parents qui sympathisent en attendant leurs enfants. Ces lieux d’entraînement sont bien plus que des salles ou des terrains : ce sont des bulles de respiration et d’inclusion. On y rit, on y apprend à perdre, à recommencer, à progresser ensemble. Et surtout, on s’y rappelle que le sport, avant d’être une performance, est une rencontre avec les autres, mais aussi avec soi-même.
Et pour que chaque sportif soit accueilli dans les meilleures conditions, l’AISF et l’AES accompagnent les dirigeants de clubs, de fédérations et d’infrastructures afin d’assurer un encadrement de qualité, accessible à tous. Leur travail de terrain, souvent discret, permet aux pratiquants de profiter d’espaces mieux gérés, plus accueillants et plus vivants.
Bouger mieux ne veut pas dire transpirer plus, mais vivre ensemble le mouvement, avec plaisir, régularité et bonne humeur.