À 50 ans passés, David Jeanmotte n’est pas du genre à ranger ses paillettes ou à ralentir le pas. Le chroniqueur belge, aussi pétillant qu’une coupe de champagne un soir de réveillon, aborde la cinquantaine non pas comme un cap à franchir avec prudence, mais plutôt comme une nouvelle piste de course.
50 ?
« 5, c’est mon chiffre favori ! Il me suit partout, du 5e étage de mon immeuble à ma société ‘The Five’. Mais 50, j’adoooore aussi ! J’en ai 52 et je me sens au début d’une vie », nous confie le relooker aux mille visages. L’expérience, les réussites, les déceptions, tout cela a forgé une sorte de sagesse chez lui… à sa manière, bien sûr ! « À 50 ans, tu sais ce que tu veux et surtout ce que tu ne veux plus. Fini les errances, bonjour la clairvoyance ! », assène-t-il avec ce joli sourire qui le caractérise.
Je mange les journées avec un appétit de vivre qui ne faiblit jamais. Chaque instant est une fête, chaque rencontre une bénédiction.
David, plus sage ?
« Que nenni ! Il termine à peine son adolescence », ironise un proche qui vient interrompre notre conversation. Il faut bien avouer que l’hyperactif chroniqueur a gardé son âme d’enfant : « Je mange les journées avec un appétit de vivre qui ne faiblit jamais. Chaque instant est une fête, chaque rencontre une bénédiction. »
Perso, je le crois. Son actualité pour s’en convaincre ? Accrochez-vous, son emploi du temps ferait pâlir d’envie un ministre. Avec, entre autres, ses chroniques au Grand Cactus, ses conseils éclairés dans le 8-9 sur SUIVEZ-NOUS la luminothérapie, son nouveau duo avec Sylvie Honoré sur Viva Weekend, un spectacle en préparation, son rôle de conseiller en phytothérapie dans les pharmacies depuis 8 ans, l’organisation des Restos du Rire pour les Restos du Cœur et ses animations des Ladies Night, ce saltimbanque est partout.
À 50 ans, tu sais ce que tu veux et surtout ce que tu ne veux plus. Fini les errances, bonjour la clairvoyance !
Ah, oui, excusez du peu, Mon Seigneur vient même de recevoir la médaille d’honneur de la Confrérie du Manneken Pis ce 6 septembre. Décidément, la cinquantaine est loin d’être un terminus. Pour l’ami David, elle est même un tremplin aux ressorts débordant d’énergie.
